Arletty
Un cœur très occupé
Inspiré des authentiques lettres retrouvées entre l’actrice et son bel Officier Allemand (1), ce magnifique spectacle romantico-historique nous replonge dans les tourments de ce « Coeur Très Occupé » grâce à un jeune journaliste qui, après avoir poliment forcé la porte de la star, l’invite à replonger dans son courrier amoureux.
L’évolution de leurs rapports durant cet interview étonnera par toutes ses surprises, ses révélations et ses nouvelles émotions mettant à jour ces instants historiques aussi intimes que particuliers que la légende et la presse ont souvent fâcheusement transcendées. (1)
En 1941, pendant l’Occupation, Arletty rencontre Hans Jürgen Soehring, un officier allemand de dix ans son cadet, proche d’Hermann Goering, l’un des hommes forts du IIIème Reich. L’actrice tombe amoureuse de cet homme aux oreilles pointues (elle s’amusait à le surnommer son Faune), et entame une idylle passionnée. Alors que sa popularité est au firmament, elle s’affiche sans complexe avec un représentant de l’ennemi. Cette “collaboration horizontale” vaudra à Arletty quelques ennuis à la libération lui inspirant cette fameuse phrase : « Mon coeur est français, mais mon cul est international »
Équipe artistique
- Auteur : Jean-Luc Voulfow
- Mise en scène : François Nambot
- Distribution : Béatrice Constantini et François Nambot
- Lumières : Jacques Rouveyrollis
Du 3 octobre au 28 décembre 2024
Jeudi, vendredi et samedi à 19h
Durée : 1h15
Tarifs :
- Catégorie unique placement libre : 30€
Béatrice Costantini incarne avec brio, et panache une Arletty flamboyante!
Ce n’est ni un hologramme, ni une hallucination. Arletty, c’est elle. Jusqu’au bout des ongles.
Les deux comédiens étonnent. La pièce alterne entre révélations et rebondissements. L’émotion est palpable.
La pièce nous fait souvent rire, et nous émeut aussi, surtout dans son épilogue surprenant.
Béatrice Costantini et Arletty ont la même énergie, le même franc-parler ; elles étaient faites pour se rencontrer.
Arletty
Un cœur très occupé
Inspiré des authentiques lettres retrouvées entre l’actrice et son bel Officier Allemand (1), ce magnifique spectacle romantico-historique nous replonge dans les tourments de ce « Coeur Très Occupé » grâce à un jeune journaliste qui, après avoir poliment forcé la porte de la star, l’invite à replonger dans son courrier amoureux.
L’évolution de leurs rapports durant cet interview étonnera par toutes ses surprises, ses révélations et ses nouvelles émotions mettant à jour ces instants historiques aussi intimes que particuliers que la légende et la presse ont souvent fâcheusement transcendées. (1)
En 1941, pendant l’Occupation, Arletty rencontre Hans Jürgen Soehring, un officier allemand de dix ans son cadet, proche d’Hermann Goering, l’un des hommes forts du IIIème Reich. L’actrice tombe amoureuse de cet homme aux oreilles pointues (elle s’amusait à le surnommer son Faune), et entame une idylle passionnée. Alors que sa popularité est au firmament, elle s’affiche sans complexe avec un représentant de l’ennemi. Cette “collaboration horizontale” vaudra à Arletty quelques ennuis à la libération lui inspirant cette fameuse phrase : « Mon coeur est français, mais mon cul est international »
Équipe artistique
- Auteur : Jean-Luc Voulfow
- Mise en scène : Francçois Nambot
- Distribution : Béatrice Constantini et François Nambot
- Lumières : Jacques Rouveyrollis
Du 3 octobre au 28 décembre 2024
Jeudi, vendredi et samedi à 19h
Durée : 1h15
Tarifs :
- Catégorie unique placement libre : 30€
Béatrice Costantini incarne avec brio, et panache une Arletty flamboyante!
Ce n’est ni un hologramme, ni une hallucination. Arletty, c’est elle. Jusqu’au bout des ongles.
Les deux comédiens étonnent. La pièce alterne entre révélations et rebondissements. L’émotion est palpable.
La pièce nous fait souvent rire, et nous émeut aussi, surtout dans son épilogue surprenant.
Béatrice Costantini et Arletty ont la même énergie, le même franc-parler ; elles étaient faites pour se rencontrer.
Beatrice Constantini et François Nambot nous offrent une pièce de théâtre exceptionnelle ! Beatrice Constantini réalise une incroyable performance en interprétant une Arletty aussi authentique que touchante face à François Nambot un journaliste adorablement malhabile! Le duo fonctionne à merveille !
Allez y foncez !
Excellente pièce de théâtre.
Les deux comédiens sont formidables.
J’ai passé un très bon moment.
A ne pas manquer.
Excellente pièce de théâtre.
L’actrice principale Béatrice Constantini est sublime ainsi que François Nambot.
Merci pour ce moment inoubliable.
Elle figure dans des films inoubliables des années 30 et 40 du siècle dernier : Hôtel du Nord (1938), Le jour se lève (1939), Les Visiteurs du soir (1942) et Les Enfants du paradis (1945), quatre films de Marcel Carné, les trois derniers dialogués par l’immense Jacques Prévert.
Elle aura été mannequin, chanteuse, connaitra aussi du succès au théâtre et inspirera des peintres de son époque.
Un peu canaille, femme à la répartie cinglante et ajustée, elle est incarnée dans ce spectacle par Béatrice Costantini.
Cette dernière apparait dans un beau costume blanc qui lui donne une stature « qui en impose ».
Et elle sait s’imposer Mademoiselle Arletty, et s’opposer à ce journaliste (joué par François Nambot) qui semble l’importuner dans son antre.
L’atmosphère se détend au fur et à mesure de toutes ces lettres qui rappellent un amour passion/passé avec un officier allemand durant la seconde guerre mondiale.
Les souvenirs refont surface et l’on sait ce qu’il devient des passions …elles traversent difficilement le temps.
C’est un bel hommage qui est rendu à cette comédienne atypique et c’est un très beau rôle pour Mme Costantini.
Pour retrouver un peu d’une autre époque, sans aucune gouaille exagérée, c’est aux Mathurins qu’il faut se rendre et passer un excellent moment avec ces 2 comédiens.
Et puis vous verrez, le final vous surprendra !!
Excellente pièce découverte au Festival du Théâtre d’Avignon. Béatrice Costantini et François Nambot (qui a signé la mise en scène) rivalisent de talent pour faire découvrir une Arletty aussi brillante qu’émouvante. A ne pas manquer.